top of page

roues de fortune

« O Fortune, comme la lune variable, toujours tu crois et tu décrois. » Carmina Burana (1220-1250).

 

« Fortune se joue des gens :

les uns montent, les autres descendent,

elle élève celui-ci, abaisse celui-là,

elle place l’un au-dessus et l’autre au-dessous,

et à celui qu’elle met à la plus haute place,

au plus sage, au plus valeureux,

elle fait un croc-en-jambe un jour ou l’autre. » Boèce, Consolation philosophique.

bottom of page